Séminaire sur l`avenir

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Dès que l’on commence à penser à avoir des enfants, une maison, un mari ou une femme, de l’argent, c’est que l’on pense à son avenir : bienvenue à l’école de l’angoisse.

Dans Jérémie 29 :11, nous pouvons lire que Dieu dit : « car moi, le Seigneur, je sais bien quels projets je forme pour vous ; et je vous l’affirme : ce ne sont pas des projets de malheur mais des projets de bonheur. Je veux vous donner un avenir à espérer ». 

Dès que l’on commence à penser à avoir des enfants, une maison, un mari ou une femme, de l’argent, c’est que l’on pense à son avenir : bienvenue à l’école de l’angoisse.

Dans Jérémie 29 :11, nous pouvons lire que Dieu dit : « car moi, le Seigneur, je sais bien quels projets je forme pour vous ; et je vous l’affirme : ce ne sont pas des projets de malheur mais des projets de bonheur. Je veux vous donner un avenir à espérer ». Ainsi,  Il faudrait que nous sachions que c’est Dieu qui fonde les projets en nous, nous ne faisons que des sujets à Dieu. Il ne faut jamais transgresser cet ordre.

Tous les travaux que Dieu a réalisés avant de se reposer le septième jour, ont été accomplis dans l’intégrité et la sainteté, puisque Dieu est saint, il veut de même pour nous. Rien ne peut être réalisé et établi sur la terre sans intégrité et sainteté.

Lire : Matt 6 : 26 – 27

Prov. 23 : 4

Prov. 16 : 8

Prov. 29 : 25

Prov. 20 : 21

Prov. 21 : 6 

Il y a un seul langage pour la réussite, et il y a un seul type de réussite, elle est globale, englobant tous les domaines de la vie ; elle a cependant des composantes. La réussite scolaire ou sociale est une de ses composantes.

L’intégrité ne produit pas de résultats promptement parce que l’intégrité n’est pas le « micro-onde ».

Il y a une connexion entre notre style de vie, nos projets (nos sujets de prières) et les projets que Dieu forme pour nos vies. Sans intégrité, nos prières sont vaines.

Psaumes 15 : « qui peut louer l’Eternel ? Celui qui a les mains non polluées par du sang. Celui qui dit des choses avec son cœur et pas avec des paroles fausses aux lèvres ».

Pourquoi se tracer soi-même le chemin de la malédiction ?

Deut 30 : 15 – 20

Israélites, voyez : aujourd’hui je place devant vous la vie et le bonheur d’une part, et la mort et le malheur d’autre part. 

Prêtez donc attention aux commandements que je vous communique aujourd’hui : acceptez d’aimer le Seigneur votre Dieu, de suivre le chemin qu’il vous trace, d’obéir à ses commandements, à ses lois et à ses règles ; alors vous pourrez vivre, vous deviendrez nombreux, et le Seigneur vous comblera de bienfaits dans le pays dont vous allez prendre possession.

Mais si vous vous détournez de lui, si vous lui désobéissez, si vous vous laissez à adorer et servir d’autres dieux,

Vous disparaîtrez complètement, je vous en préviens dès aujourd’hui; vous ne resterez pas longtemps dans le pays dont vous allez prendre possession au-delà du Jourdain.

Oui, je vous avertis solennellement aujourd’hui, le ciel et la terre m’en sont témoins : je place devant vous la vie et la bénédiction d’une part, et la mort et la malédiction d’autre part. choisissez donc la vie, afin que vous puissiez vivre, vous et vos descendants.

Aimez le Seigneur votre Dieu, obéissez-lui, restez-lui fidèlement attachés : c’est ainsi que vous pourrez vivre et passer de nombreuses années dans le pays que le Seigneur a promis de donner à vos ancêtres Abraham, Isaac et Jacob. 

Les forces invisibles de la vie agissent même si vous n’y croyez pas. Le diable n’a pas besoin de clés ni de votre permission pour entrer dans votre cœur et dans notre vie.

Pour parvenir à son avenir, il y a trois étapes non négociables à suivre :

La première étape est le passage de son avenir : c’est un passage rocailleux. Dès qu’on prend ce passage, bienvenue à des crises dans notre vie. On en vient parfois à se demander si Dieu existe.

Dans Genèse 12 – 13, Abraham a vu son avenir dès qu’il a quitté son clan familial, la maison de son père et de sa mère, bref la maison familiale). Il venait alors de trouver le passage de son avenir. C’est pendant ce passage que Dieu lui a montré ses promesses. Ces promesses sont gratuites, mais pas automatiques. Il faut persévérer pour les saisir.

Le passage est intéressant car, c’est pendant cette période que nous sont révélées les promesses de Dieu pour nos vies, les projets de Dieu pour nous, dans ce passage, il y a un style de vie à mener pour entrer en possession de notre avenir. 

Tout le monde veut réussir, mais peu y parviennent. (Prov. 14 : 12)

Pourquoi ?

Les raisons sont simples :

  • Certains se comportent comme s’ils sont les auteurs de leur avenir.
  • Certains se comportent comme s’ils sont plus sages que Dieu, et Dieu est placé secondairement dans leurs plans.
  • Certains sont pressés de réussir… vite vite vite, et ce, à n’importe quel prix (vols, mensonges, assassinats, fraudes, prostitution…)
  • Certains violent l’ordre divin et veulent utiliser l’ordre charnel et les astrologues pour réussir.

Il y a un style de vie que Dieu impose à ceux qu’il a choisis pour parvenir à leur réussite. 

La deuxième étape est le prix : Le passage de l’avenir est harmonisé avec le prix. Sur ce passage, nous payons le prix. C’est au niveau du prix que la plupart des personnes tombent. Il faut savoir que les choses excellentes et agréables dans la vie ne s’acquiescent pas facilement, sans aucun prix. Il ne faut pas fuir les problèmes, mais les affronter. Devant un problème, il faut prier et jeûner. Il faut demander le secours du Tout-Puissant. Sachons qu’aucun problème n’est plus grand que lui…

Le passage de l’avenir est constitué d’étapes que nous devons valider pour avancer, et passer aux étapes suivantes. Il n’y a pas d’ascenseur là-bas. C’est une évolution, une progression. Si devant une étape, nous ne prenons pas notre courage pour l’affronter avec l’aide de Dieu, nous n’allons pas avancer, mais stagner, telle une eau qui stagne et qui n’avance pas. Celle-ci finit par sentir mauvais, par être repoussante. Quatre choses sont à maîtriser durant cette année, mais aussi durant le passage vers notre avenir : nos pensées, nos paroles, notre conduite, nos fréquentations.

La souffrance est inévitable. Cela ne veut pas dire que Dieu n’est pas bon. Dieu est bon, même dans la souffrance. Aucun malheur n’arrive aux justes. Avant de résoudre un problème, il faut en chercher la cause.

1Pierre 2 : 21

C’est à cela que Dieu vous a appelés, car le Christ lui-même a souffert pour vous et vous a laissé un exemple afin que vous suiviez ses traces.

1Pierre 3 : 10 – 17

Comme l’Ecriture le déclare :

«Celui qui veut jouir d’une vie agréable et connaître des jours heureux doit cesser de dire du mal et de mentir.

Il doit se détourner du mal, pratiquer le bien et rechercher la paix avec persévérance.

Car le Seigneur a les yeux fixés sur les fidèles, prêt à écouter leurs prières ; mais il s’oppose à ceux qui font le mal. »

Qui vous fera du mal si vous êtes zélés pour pratiquer le bien ? 

Même si vous avez à souffrir parce que vous accomplissez ce qui est juste, vous êtes heureux. N’ayez aucune crainte des hommes et ne vous laisser pas troubler.

Mais honorez dans vos cœurs le Christ, comme votre Seigneur. Soyez toujours prêts à répondre à tous ceux qui vous demandent des explications au sujet de l’espérance qui est en vous.

Mais faites-le avec douceur et respect. Ayez une conscience pure afin que, lorsqu’on vous accuse, ceux qui disent du mal de votre bonne conduite inspirée par le Christ soient honteux de leurs paroles.

Car il vaut mieux souffrir en faisant le bien, si telle est la volonté de Dieu, plutôt qu’en faisant le mal.

1Pierre 4 : 1 – 2

Puisque le Christ a souffert physiquement, fortifiez-vous aussi dans la même disposition d’esprit ; car celui qui supporte des souffrances physiques en a fini avec le péché.

Dès maintenant, vous devez donc vivre le reste de votre vie terrestre selon la volonté de Dieu et non selon les désirs humains. 

Deut 8 : 1 – 5

Veillez à mettre en pratique tous les commandements que je vous communique aujourd’hui ; ils vous permettront de vivre et de devenir un peuple nombreux. Vous pourrez alors prendre possession du pays que le Seigneur a promis à vos ancêtres.

Souvenez-vous de la longue marche que le Seigneur votre Dieu vous a imposée à travers le désert, pendant quarante ans ; il vous a ainsi fait rencontrer des difficultés pour vous mettre à l’épreuve, afin de découvrir ce que vous aviez au fond de votre cœur et de savoir si, oui ou non, vous vouliez observer ses commandements.

Après ces difficultés, après vous avoir fait souffrir de la faim, il vous a donné la manne, une nourriture inconnue de vous et de vos ancêtres. De cette manière, il vous a montré que l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole que Dieu prononce. 

Vos vêtements ne se sont pas usés, vos pieds n’ont pas enflé durant ces quarante ans.

Comprenez donc bien que le Seigneur votre Dieu veut vous éduquer comme un père éduque son fils.